Photos NOIR & BLANC et… MAGIQUE !
Origine et Copyrights : http://cinemagraphcollection.com/
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à 6h42, 11h55, 13h12, 16h12, 22h25 et 0h15… LE_LIVRE_DU_JOUR--13_04_13_MALLOCK__Le_cimetière_des_hirondelles__PA--NET_B1AFEEEE-A335-4D88-AE41-DC6CE522B844
Réalisée avec mon ami Michel Petigny ! Jason D. Page, Light Painter (Trailer) from Jason D. Page on Vimeo.
Voir ICI l'article complet de MANDOR… Qu'il en soit remercié une fois encore !!! Il a été le premier à me consacrer un article de fond à la sortie du "Massacre des innocents" il y a quatre ans. Rebelote pour "Les Visages de Dieu" il y a 3 ans. Si tous les journalistes se "cassaient autant le cul" qu'il le fait avec acharnement pour découvrir des nouveaux talents et chroniquer les nouvelles sorties, nous nous en porterions tous (les artistes) bien mieux. Bravo l'artiste !
"MALLOCK en STOCK" sur "Web TV Culture" par A-Mallock D'autres INTERVIEWS faites le même jour pour FLEUVE NOIR, sur Web TV Culture.com
Scène émouvante à l'issu de la finale de concours de cheveux blanc entre Armelle (Libraire à l'œil écoute) à gauche casaque bleu ciel et Mallock (Ecrivain Fleuve Noir) à droite casaque Noir (les couleurs de son sponsor) Sportive, la grande gagnante du concours vient consoler le perdant : Elle (élégante): "Tu te représentera l'année prochaine, c'est pas la fin du Monde" Lui (pas content) : " Fais pas ta fière, t'as gagné d'un cheveux. Et pis, j'suis sûr qui a eu d'la triche, OPO, teintures et colorants."
Nos amis Belges seraient-ils plus sensibles au "style" et à la manière, que les Français ? Oh non, ça, j'ose pas l'croire, ce serait par trop cruel :-)
L’air avait un parfum de sucre roux. Des ruisseaux de boue cannelle descendaient le long de la route et des torrents de pluie s’abattaient sur le parebrise du véhicule. Les voitures, en grande partie aveuglées, continuaient à se croiser à toute allure. Miracle après miracle, elles parvenaient à s’éviter. Mallock commençait à se demander si, tout compte fait, il avait eu raison de quitter le refuge de l’hôtel pour risquer sa vie en partant à la recherche de la vieille femme. Ils mirent une bonne demi-heure pour atteindre la manufacture et parvenir jusqu’au mystérieux entremetteur. À leur arrivée, le vieil homme se leva de sa chaise. Son corps ressemblait à un cigare Panatela. Sec, maigre et plissé. Sa peau, en parfaite harmonie, avait toutes les nuances d’une feuille de tabac. Zagio , c’était son nom, s’occupait de faire fonctionner l’humidificateur dans le saint des saints, la salle des capes. À chaque fois qu’il déclenchait l’antique machinerie, toute la pièce et ses occupantes étaient envahies par un opaque brouillard d’eau. Mister Blue s’approcha et commença…