« Cachez ce sein que je ne saurais voir », à bien y réfléchir, BOOB aurait pu s’appeler : « le Cauchemar de Tartuffe ». Après MOON, ode attendrie au fabuleux fessier de nos charmantes compagnes, c’est à son sein que nous nous sommes voué avec la même gourmandise. Que c’est beau ce joli lolo avec, juste au milieu, le téton qu’autrefois nous tétions. En fait, lorsque je parle de seins, il me faudrait mettre un « S », car je parle des deux, de la paire tant qu’à faire. De ces jolies planètes jumelles qui avancent devant elles en éclaireur, pièges à regard, à pensées égrillardes et à frustrations tactiles. On a le droit de les toucher de l’œil, mais on les contemplerait bien avec les mains ! Enfin, n’est-ce pas là déjà une fête, que cette lumière qui s’y reflète en en consacrant la rotondité parfaite ? Ceci exposé, pour cette seconde partie de ce qui constitue donc un diptyque, nous avons voulu mettre en avant le concept d’Anthologie et donc proposer un plus grand éclectisme. BOOB, fils de MOON,…